"Elles sont longues, lourdes et complexes, ces introspections mais elles ont été nécessaires pour m'apprendre à apprivoiser (et même aimer) Yseult, que je détestais presque au début du livre! Plus on avance, plus on comprend, décortique, pardonne, approuve et admire presque le détachement de cette "fée". Et on blâme un peu plus Diane, même si elle est, d'une certaine façon, attachante par son si grand tourment!
La lettre d'Yseult à sa fille a failli me faire pleurer (faut dire qu'à 3h du matin, je suis un peu plus à fleur de peau)."
commentaire tiré du site: Club des rats de bibliothèque
Décidément Marie Laberge a su me captiver et cela même avec une histoire qui ne m'a pas nécessairement plue. La plume de Marie Laberge me rejoint directement, jamais je n'ai besoin de relire un passage qui m'a échappé et si je le fais c'est que je veux ressentir mieux la beauté et la précision de son écriture et des ses images. J'ai lu Le poids des ombres avec intérêt, malgré mes 38 semaines de grossesse, le deuil de ma petite Yukie (mon abyssin femelle de 1 an décédée d'une tumeur au coeur)
La Puce et Yukie ainsi que ma bedaine.
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